Quand on est dans la vingtaine, entre deux tounes pour piano, les p’tites compositions, quelques planches de bandes dessinées, les câlins de l’amoureux et les problèmes financiers, on a toujours un petit doute. Mais ce doute-là, c’est ce qui nous fait avancer, pas vrai? La plus jolie fin du monde, c’est rien d’autre que les récits anecdotiques tirés de la vie ordinaire et palpitante de Sylvie-Anne Ménard. Palpitante, vraiment?… Ben oui. On n’a pas besoin d’être un superhéros, une vedette de cinéma ou un président de la république pour gagner le droit de regarder sa propre vie avec intérêt Eh bien, voici le tableau de tout ça, dessiné sur un coin de table entre deux péripéties, juste pour le plaisir de le faire.